Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 7

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

-Bon et si on se faisait un p'ti poker gage ! L'interrompt dans ses pensées Enzo le vicieux, pas le moins perturbé par la tournante brutale qu'il a enregistré dans son phone.

Et Élodie qui meurt d'envie de voir la suite de la tournante, retient ses délires en se mordant la lèvre.

Toujours émoustillée par la pauvre Béa ramonée sauvagement en tournante, Élodie réagit à peine à la proposition d'Enzo. "La pauvre Béa, mais je vais pas bien moi ? Une trainée comme elle ça se prend en tournante, point !" Elle a beau essayer de se rassurer, mais la gamine a la chatte qui la titille de se faire prendre par de beaux spécimens comme les potes de Romu.

*CLAC* *CLAC*

-Eh oh, t'es avec nous ou pas ? La dérange le portugais.

-Euh .... Oui oui, c'est bon ! Je vous suis. Lui répond la gamine toujours dans ses pensées.

-OK alors, la mise de départ un vêtement, et un autre vêtement pour chaque nouvelle mise alors !

Elle a dû rater un épisode, avec le peu de tissu qu'elle a sur le cul elle ne tiendra jamais une partie entière.

-Eh mais non, ça va pas ! S'exclame-t ‘elle alors que Quentin distribue les cartes.

-Nan mais c'est booon putain, fait pas ta chiante, on est là pour s’amuser !

-Je croyais qu'on faisait un gage poker, par un strip !

-T'as rien écouté en fait, on a dit : "on mise nos fringues et le gage si tu perds ou si tu te couches est de retirer les fringues misées à chaque tour"

"Mais dans ce cas, on doit retirer une fringue à chaque partie !" Elle ne va pas faire long feu, et étonnamment ça l'émoustille, mais elle ne peut pas le leur avouer.

-Ouais c'est ça et du coup j'me r'trouve à poil en deux tours quoi !

-Eh .... Répond simplement Enzo d'un hochement d'épaule.

La gamine, téméraire, qui ne rechigne pas, secrètement, à s'exposer à ces hommes après l'exemple que leur ont donné les potes de Romu, relève le défi le regard déterminé :

-Je vous propose un twist, vu j'ai clairement pas l’avantage ! Elle leur montre sa petite tenue.

On joue une main à la fois, moi contre vous, ma main contre la meilleure des vôtres, juste cinq carte chacun, pas de rivière .... Elle marque une pause.

-OK, continue ! Répond Quentin très intéressé.

-Si vous gagnez ; vous me donnez un gage, et si je gagne .... Je vous donne un gage collégial, vous l'exécutez tous les trois !

Mathieu prend pour une fois la parole avant tout le monde :

-Ouais ça me va, on devrait s’éclater ! Il regarde les autres surpris par sa prise de parole soudaine.

"EH EH on dirait que j'ai évité la catastrophe là !" Quentin distribue le premier lot de 5 cartes chacun, pendant que la gamine se repositionne, le string lui écartant la vulve.

-Pas de triche on retourne tous ensemble ! Élodie est déterminée à garder un minimum de contrôle.

Ils retournent en même temps, et Élodie perd la main avec une malheureuse paire. Les garçons se concertent, et c'est Mathieu qui annonce :

-Tu dois faire une pipe à cette canette de coca ! Et il lui tend un canette en verre de 25cl trouvée sur la table de nuit de la gamine.

Élodie leur sourit en mode, un peu facile votre truc ! Elle att la canette et commence à en sucer la boursouflure du goulot. Du coin de l'œil, elle se régale de chauffer les garçons avec un truc si banal. Elle décide de pimenter un peu le jeu et commence à saliver sur le verre, des coulures de baves s'étirant sur la longueur de la bouteille. De sa main libre, elle caresse et simule la masturbation de l'objet en commençant à le pomper avec gourmandise.

La gamine se laisse prendre au jeu et commence à gémir doucement :

-HUM .... HUM ....

Les garçons écarquillent les yeux, l'adolescente sent une chaleur sourde nouer son estomac, elle ondule légèrement du bassin, frottant le tissu rose de son string contre son clitoris. Le bouton de chair gonfle vite et la gamine sent déjà des vagues de chaleur secouer son corps.


-Vas-y j'veux qu'elle me suce comme ça aussi ! S'esclaffe Enzo, coupant cour l'excitation de la gamine qui remet les pieds sur terre et dépose la bouteille devant eux.

*PAF* Quentin balance un énorme taquet derrière le crâne du portugais :

-Bravo connard !

Quentin redistribue les cartes : 1, 2, 3 ....

-YEEEEAH, dans les dents les mecs, j'vous mets la pige ! S'écrie Élodie aux anges. Elle réfléchit : HUM .... Vous devez me masser pendant 5 minutes !

-Oh putain, la merde....

Mauvais perdant Enzo suit ses potes en trainant les pieds et ils encadrent la gamine qui s'allonge sur le ventre, et leur tend une bouteille de crème relaxante qu'elle sort de son tiroir. Mathieu commence à lui enduire les jambes, Quentin s'occupe de ses épaules et Enzo se réserve le dos.

-HUM .... Continuez comme ça les garçons c'est bon !

-Par contre ta ficelle me fait chier, j'te préviens j'la détache pour de vrai cette fois ! Lui sort un Enzo ronchouillard.

-Attends je t'aide même, regarde ! Et Élodie tire sur le nœud et écarte les lacets de part et d'autre de son corps.

Enzo se régale de la vue, il mate avec gourmandise les rondeurs des mamelles écrasées sur le matelas. Ses mains se mettent à glisser sur les flancs de la gamine décontractée. Il effleure les gros seins et comme la petite ne réagit pas il est un peu plus entreprenant.

Au pied du lit, Mathieu n'est pas en reste et graduellement, ses mains remontent les jambes, puis les cuisses, puis la rondeur des fesses qu'il malaxe avec gourmandise. Quentin, le meilleur masseur des trois, détend parfaitement la gamine qui se laisse doucement envahir par une nouvelle sorte d'extase.

Son bassin se met à onduler au rythme des caresses, elle soulève un peu le torse pour laisser accès à Enzo qui s'en sort très bien malgré ses jérémiades. Et les mains de Mathieu sont un vrai régal, elles induisent des vagues de chaleur sourde dans les reins de la gamine, qui s'arcboute légèrement, ouvrant les lobes de ses fesses.


L'adolescente est tout à son plaisir sous le jeu des six mains, elle soulève son torse pour s'appuyer sur ses coudes, penche la tête en avant pour donner une meilleure prise aux mains musclées du DJ, les anglaises de la gamine frôlent la bosse qui gonfle sour son short.

Elle cambre un peu plus ses reins pour donner de l'amplitude aux caresses de Mathieu qui glisse ses pouces entre les lobes fessiers pour les malaxer à pleine mains.

Et son portugais, quant à lui, il glisse ses mains chaudes et glissantes sous les lourdes mamelles qui pendouillent nonchalamment sous le torse de l'adolescente.

Les pouces de Mathieu glissent entre les fesses de la petite brune qui gémit doucement lorsqu'il lui titille la pastille du bout des doigts. Les mains charnues d'Enzo pétrissent et malaxent les mamelons gonflés. Les yeux fermés, la gamine soupir la bouche ouverte contre le vit bandé de Quentin qui a de plus en plus de mal à résister à la tentation de lui fourrer sa bite tendue entre les lèvres.

Alors qu'Élodie commence à sentir un nouveau genre de plaisir et de volupté l'envahir, Enzo qui s'amuse à "traire" les mamelons tendus, se laisse un peu aller et lui tord les tétons violemment croyant la faire jouir au point culminant de son plaisir.

-Aïe! Putain mais t'es dingue ou quoi ? L'adolescente est furieuse contre le portugais. Il vient de gâcher sa montée de plaisir au moment le plus crucial.

*PAF* Nouveau taquet mérité de Quentin qui se voyait déjà se faire sucer par la gamine.

Frustrée intérieurement, Élodie décide de faire payer les garçons, elle était sur le point de fondre sous leur main, elle se voyait déjà s'offrir à eux. Pour le coup, elle rattache le bandana et reprend sa place dans le jeu.

-Bravo Enzo !

-Ouais tu fais chier.

Elle entend à peine les deux garçons engueuler et bousculer leur ami. Sans perdre de temps, espérant que leur copine est encore chaude, Quentin redistribue les cartes : 1, 2, 3 .
...

-Yes ! Les trois garçons sont aux anges, c'est leur tour, ils se concertent, ils sentent bien que la gamine est chaude.

Élodie attend impassible le verdict, mais elle à la chatte en feu, ces cons l'ont chauffée comme des ânes et maintenant elle reste sur sa faim.

C'est un Enzo ravi qui annonce la sentence :

-Tu dois te caresser 10 minutes mais sans jouir, et on a le droit de te faire ce qu'on veut pour essayer de te faire jouir !

La gamine n'est pas d’accord :

-Nan mais c'est naze comme gage, je suis même pas à poil !

Les garçons se regardent comme des idiots, ils se concertent à nouveau :

-Tu as 3 minutes pour te foutre à poil, pour monter et redescendre jusqu'au 5ème étage par les escaliers. Si tu y arrives, tu peux te rhabiller, sinon tu balance ton string et ton bandana aux gars du chantier en dessous.

"Putain, trois minutes ?" Ça va être dur, mais j'suis sûr que j'peux le faire !" L'adolescente est tenace et déterminée, et les garçons connaissent son esprit de compétition.

-Vous allez le regretter les mecs, j'vais vous mettre la pige ! Leur répond-elle d'un sourire de défi.

Ils accompagnent l'adolescente sur le pas de la porte, et Quentin prépare son timer sur trois minutes :

-3 .... 2 .... 1 .... top !

La gamine arrache la ficelle dans son dos, descend son string à ses pied :

-Putain putain ....

La ficelle du string trop petit se prend dans son talon, mais elle parvient à le retirer. Elle regarde les garçons, le regard un peu inquiet, on est Dimanche, les gens sont chez eux, et elle n'avait pas réalisé le bouquant que ses talons allaient faire sur le parquet des marches. "Tant pis !" Elle se lance, elle monte les marches aussi vite qu'elle peut, ses mamelles secoués dans tous les sens. Sans se poser de questions, elle arrive au cinquième et entame la descente qui s'avère encore plus périlleuse. Elle manque de se casser la gueule à 3 reprises mais elle parvient à revenir sans encombre dans l'appart' claquant la porte derrière elle :

-Aaaaaah pas mal ....

La gamine, les mains sur les seins et le pubis, a les yeux qui pétillent, elle pense en effet avoir fait un bon chrono.

-Maiiiiiis .... 3min45, perdu ma vieille. Aller, tu te penches à ta fenêtre et tu appelles les gars du chantier, les seins à l'air, et lorsqu'ils te voient, tu leurs balances tes fringues.

Tétanisée, mais excitée à la fois, la fillette s'exécute et se penche au balcon de sa fenêtre pour interpeler les mecs du chantier.

-youhou !!!! les appelle-t ‘elle

La brunette secoue ses bras et ses gros seins en même temps au-dessus de la rambarde. Les garçons se régalent depuis la deuxième fenêtre, ils aperçoivent des portugais, des espagnols, des checks, des pakistanais, ils se tournent tous vers la gamine à poil à la rambarde de son balcon, et elle leur crie :

-Cadeau messieurs !

Et elle balance son string et son bandana roulés en boule le plus loin possible :

-Wouhouuuuu! Un africain longiligne fait la pige à un espagnol trapu, il att les vêtements au vol.

La gamine se précipite pour se cacher dans sa chambre, mais les garçons referment la porte fenêtre sur elle. Inquiète, elle regarde en contrebas, les gars du chantier la sifflent, et le grand africain sort sa bite et se branle avec les dessous de la petite, enfermant son gland trapu dans le triangle rose à l'effigie de chat.

Élodie sent sa chatte fondre entre ses cuisses, elle croise les jambes pour contenir les gouttes de cyprines qui cherchent à s’écouler hors de leur abri doux et chaud. Un doigt à la bouche, elle implore les garçons de la laisser rentrer. Les trois vicieux se marrent et lui lancent un nouveau challenge :

-Ecarte les fesses et montre leur ton cul !

-Pitié pas ça !

-T'avais qu'à accepter le gage précèdent ! ça t'apprendra à faire la maligne ! Se moque ouvertement Enzo.

Stressée, mais chauffée à blanc, la gamine s'exécute et écarte les fesses pour le plus grand plaisir des ouvriers qui ne regrettent pas les heures sup de ce Dimanche.

Enzo ouvre la fenêtre sur le côté, et crie :

-Doigte toi la chatte trois minutes, p'tite salope !

Elle l'implore du regard, mais rien n'y fait, ils n'ouvriront pas tant qu'elle ne se sera pas exécutée. Prise au piège mais étrangement excitée comme une puce à s'exhiber de la sorte, elle commence à caresser sa vulve trempée et à y insérer un puis deux doigts qu'elle fait coulisser en douceur. Les cris des mâles en contrebas et les sifflements la surexcitent. D'elle-même, elle mouille l'index de sa main libre, et commence à se doigter l'anus en rythme.

Élodie sent les regards vicieux tournés sur elle comme elle sent le vent glisser sur sa peau dénudée. Un plaisir sourd et intense monte entre ses reins, ses doigts dégoulinent de cyprine, sous le regard des garçons. D'abord debout maladroitement sur le petit balconnet, elle s'accroupit, tendant son cul au maximum vers l'arrière.

Elle accélère le mouvement de ses deux doigts qui branlent sa chatte détrempée. Elle gémit en tendant la tête en arrière, et fait un truc qu'elle n'aurait jamais osé faire avant ....

Sur la pointe de ses pieds tendus, s'astiquant comme une dératée, elle retire le doigt de son anus, et vicieuse, elle regarde les ouvriers par-dessus son épaule et aspire sont majeur odorant entre ses grosses lèvres de suceuse. Un deuxième doigt l'y rejoint et elle bave comme une folle sur les deux doigts qu'elle insère ensuite ensemble dans les tréfonds de sa pastille ouverte.

Les ouvriers sont dingues, ils n'auraient jamais imaginé qu'une petite vicieuse vivait si près de leur chantier. Un flash de lumière la ramène à la réalité, c'est le reflet du soleil sur la vitre se refermant doucement qui la ramène à la réalité. Elle réalise que les garçons avaient rouvert la fenêtre sans le lui dire, et c'est honteuse mais ravie, qu'elle se précipite précieuse, sur la pointe des pieds, vers la "sécurité" relative de sa chambre.

Ravis de leur petite victoire sur l’adolescente encore un peu prétentieuse, les garçons l’accueillent moqueurs :

-C’est mieux maintenant que t’es à poil ? On peut reprendre le jeu et les gages ?

Au grand désarroi de l’adolescente qui ose encore tout juste s’avouer être excitée par ces situations “normalement” honteuses, elle accepte timidement de reprendre le jeu. Elle pourrait très bien tout arrêter et les virer tous les trois de chez elle, merde, il lui suffirait d’appeler Mr. André pour leur foutre une bonne frousse. Mais Élodie n’en a pas envie, curieuse, elle veut voir jusqu’où ce jeu peut la mener.

Elle reprend sa place, à genou vers les garçons, les cuisses serrées et une main cachant timidement ses seins. Enzo file à la cuisine chercher une bière pour tout le monde et détend l’atmosphère d’une blague salace. Se foutant de la gamine à poil en public il y a quelques instants. Tout le monde rigole et l’adolescente se détend à nouveau, elle n’est pas prête de remettre en question les gages des garçons, mais surtout elle n’est pas prête de perdre à nouveau, voire se venger des loustics. Elle a même une petite idée en tête, il lui faut juste une bonne main.

Quentin mélange à nouveau les cartes et refait la distribution : 1 .... 2 .... 3 ....

Élodie jubile intérieurement :

-C’est mon tour les garçons ! Alors .... La gamine, espiègle fait semblant de réfléchir. J’ai 10 minutes pour vous faire jouir, si vous perdez, c’est à dire si l’un de vous éjacule, vous courrez tous les trois à poil dans la cour de l’immeuble !

-Tu nous branle c’est ça ?

-Je vous fait ce que je veux ! Juste z’avez pas le droit de jouir !

-Dans ces cas-là, c’est 5 minutes ! Contre propose Enzo.

La gamine réfléchit, puis accepte la contre-offre.

-Et si c’est nous qui gagnons ?

“Merde !” Elle n’y avait pas pensé ! “Putain la conne !” :

-Euh .... ben vous avez droit à un gage! Répond-elle sans réfléchir très (trop ?) confiante.

Ils se regardent les trois, confiants, et accepte le défi. La gamine se lèche langoureusement les lèvres lorsque Quentin démarre son chrono. Confiante, la gamine s’agenouille entre les garçons, et perd déjà de précieuses secondes à déballer leurs bites. “Merde, la conne j’ai pas mis assez de conditions !” Qu’à cela ne tienne, elle commence à branler Quentin et Mathieu tout en titillant le gland prépuce d’Enzo. Mais les trois bites ont du mal à bander !

“Putain ils sont devenu PD ou quoi ?” La gamine doit faire preuve de créativité pour les faire bander et au moins en faire jouir un. Vu le caractère vicieux du portugais, elle concentre ses caresses buccales sur sa bite. Elle bave, l’aspire, l’excite du bout de la langue, mais il a toujours du mal à bander. Elle abandonne temporairement la bite de Mathieu et se sert de sa main pour branler le portugais en glissant ses doigts fins sur le sexe lubrifier de salive.

Peut-être n’est-elle pas assez excitée pour réussir sa fellation, elle lâche alors la queue de Quentin et commence à se caresser la chatte. Son doigt roule le clito encore gonflé de sa session sur le balcon, la petite soupir de plaisir en aspirant la bite qui commence à durcir dans sa bouche.

“Ah enfin !” Élodie accélère ses propres caresses en même temps qu’elle branle la bite bien dure maintenant.

-Eh mec lâche pas tu y es presque !

En effet les minutes s’égrènent, tentant le tout pour le tout la gamine s’excite encore plus fort, enfonçant un puis deux doigts dans sa chatte gourmande et aux abois. Elle tend le ventre en avant et accélère sa branlette en même temps que la fellation. Des bruits humides et des odeurs de chatte en chaleur envahissent la petite pièce. Elle gémit de plus en plus fort et de plus en plus vite à mesure que l’excitation monte au creux de son ventre.

Elle oscille maintenant du bassin, les yeux fermés, elle se concentre sur sa propre jouissance, et aspire goulument la bite qui se tend et gonfle contre son palais. Elle y est presque ! Elle pince son téton et branle vigoureusement son clitoris trois doigts à plat pour le frotter avec ardeur contre son pubis. La mouille dégouline entre ses cuisses tandis qu’elle aspire le gland d’Enzo tout en lui titillant le frein du bout de sa langue frénétique.

-Tu y es presque frère 3 ....

Désespérée elle le suce maintenant sur toute la longueur, le feu montant dans son ventre.

-2 ....

Elle l’aspire entièrement gobant le gland gonflé au fond de sa gorge, une pression sourde prête à éclater au creux de sa chatte.

-1 ....

Elle se ramone la chatte à trois doigts, ne sachant plus qui doit jouir, elle ou lui.

-ZEROOOOOO entonnent les garçons en cœur, interrompant encore une fois la gamine au point culminant précédent l’orgasme.

Enzo fonce à la salle de bain prêt lui aussi à exploser :

-J’vais m’passer un coup d’eau froide les gars !

Vainqueurs, et pas peu fiers, Quentin et Mathieu toisent la gamine essoufflée et aux abois. Elle a de plus en plus de mal à cacher son envie, non, son besoin de jouir.

-Ben on dirait que c’est notre tour ma petite !

Épuisée et insatisfaite, mais le cerveau noyé d’hormones, la chatte et les mamelons hyper sensibles et gorgés de sang, l’adolescente les défie du regard.

-Profitez bien .... humph .... humph .... humph ....

-Ben on dirait que c’est à nous ! …. Il réfléchit et annonce : On a 10 minutes pour te faire jouir, par tous les moyens qu’on souhaite ! Lui annonce Enzo grand seigneur.

-Mais c’est pas juste !

Vu la flaque sous le cul de la gamine, Enzo sait qu’Élodie ne va pas négocier très longtemps. La petite est mûre, il le sait, et rajoute :

-Ou on se casse ! Ça peut être ça ton challenge, passer le reste de l’après-midi seule !

Sonnant plus désespérée qu’elle ne l’aurait voulu, Élodie le supplie presque du regard :

-Non ! .... Elle tente de corriger sa voix .... Ça va, j’accepte !

-Alors commence par te caresser, t’as juste réussi à chauffer Enzo, tu nous a même pas fait bander ! Le gage commencera quand on sera suffisamment chauffés !

La gamine qui n’a plus la force morale de négocier commence alors une danse de séduction devant les trois garçons assis sur son lit la bite molle à l’air. Elle ne le voit pas, toute concentrée sur son jeu de séduction.

Le jeune brun soulève son t-shirt et dépose sur le lit les deux godes qu’il a déniché dans la salle de bain.

Élodie ne se rend compte de rien et reprend des position aguicheuses pour chauffer les garçons, elle tend son cul en arrière, glisse son majeur entre les fesses pour se titiller la pastille, s’accroupie devant eux, les cuisses écartées, humidifiant son majeur de salive avant de le glisser entre ses obus dressé et tendu de désir. Elle descend en douceur entre ses cuisse et leur expose son clito gonflé de sang, le glisse entre ses doigts humide avant de doigter sa chatte dégoulinante de mouille.

-HUN ....

Elle gémit en douceur, offerte, en enfonçant lentement ses doigts, élargissant ses muqueuses en feu. Oscillant du bassin en rythme avec les va et vient de ses doigts, elle gémit, soupir, les appelle à la satisfaire de son regard implorant.

La perspective de s’enfoncer dans les chairs offertes et de maltraiter leur petite chienne comme les rugbymen défonçaient Béa la veille redonne de la vigueur aux garçons. La gamine rampe à leur pied prête à avaler ces trois bites que les garçons astiquent sous ses yeux langoureux. En appui sur ses mains, Élodie se hisse, ouvre la bouche et tire la langue pour sucer la grosse bite trapue du portugais. Mais ce dernier se retire au dernier moment, se délectant de la douce supplique.

Il tapote sur le matelas, l’invitant à les rejoindre :

-Allez p’tite salope, à quatre pattes comme une bonne chienne !

Féline, la gamine se hisse sur le matelas, à quatre pattes, la croupe ouverte tendue vers l’arrière. Elle se cambre, frissonnante de désir lorsqu’il glisse un doigt sur la vulve ouverte.

-Bon ben ça va pas être trop difficile on dirait ! S’enivre Enzo le vicieux.

Il se penche vers la table de nuit et att la lampe torche de l’adolescente. Il hume le manche maculé de mouille séchée. Il glisse le talon au relents métalliques sur les lèvres entrouvertes de l’adolescente. Les yeux dans le vague, la gamine aspire instinctivement le manche que le portugais fait aller et venir entre ses lèvres.

Mathieu reprend sa place derrière la gamine et lui malaxe le cul grand ouvert.

*CLAC* Il lui gifle le cul violemment, des décharges explosent dans le corps aux abois de la jeune fille.

Quentin prend le relais d’Enzo et fait coulisser lentement le manche dans la bouche offerte, alors que le brun trapu s’attèle aux mamelles pendouillantes de la gamine. Il les enduit à nouveau de crème de massage et les caresse à pleine main en un simulacre de traite, les enserrant à la base et les étirant vers le bas sur toute la longueur, tirant très fort vers le bas les mamelons pincés entre ses doigts.

La gamine tressaillit à ce triple traitement synchronisé !

Quentin glisse la lampe hors de la bouche haletante et dégoulinante de bave, et la lance à Mathieu qui caresse de ses trois doigts la vulve ouverte et luisant de la gamine. Elle ressent les doigts glisser, frictionner, caresser ses lèvres exagérément gonflées de sa fente vaginale. Le rouquin fait maintenant glisser le talon arrondi de la torche le long de ses lèvres alors que Quentin présente le gland du gode à manche entre les lèvre suppliante de la gamine.

D’un seul et même mouvement Quentin et Mathieu enfoncent les manches au plus profond de leurs orifices respectifs. Dans son délire charnel, Élodie ne s’interroge même pas de savoir d’où vient le gode qui s’enfonce dans sa bouche. Mais les relents de sperme et de mouille combinés à la double pénétration lui arrachent une longue complainte qui se transforme en cri étouffé lorsque la douleur des mamelons vrillés entre les doigts d’Enzo se mélange à l’explosion de jouissance procurée par la double pénétration.

La jeune fille se cambre de plaisir, acceptant les deux godes en elle. Enzo se lâche enfin alors que ses deux potes pistonnent allègrement la gamine. Il lui claque violemment le cul et lui les mamelles en l’insultant :

-C’est ça espèce de chienne ! T’aimes ça hein ? Te faire traiter comme une vulgaire traînée !

*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC*

Les fessées tombent, synchronisées avec le martellement des deux manches au plus profond de leurs trous respectifs.

-HUN .... HUN .... HUN .... HUN .... Lui répond la gamine en retour des vagues de plaisir la traversant de part en part.

La petite est sur le point de jouir comme jamais, elle se cambre, se tortille sous les coups, cabre sa poitrine lorsque son tortionnaire lui pince les mamelons enflés et durs comme du cuir et les vrilles violemment lorsqu’elle se cambre à nouveau de plaisir.

Mais les garçons ne l’entendent de la sorte. Juste avant l’explosion finale qu’elle sent monter dans son ventre et au creux de sa vulve assaillit, ils se retirent les trois ensemble, laissant la gamine s’effondrer insatisfaite sur sa couette maintenant gaugée de la mouille qui s’écoule entre ses cuisses.

Haletantes, Élodie se recroqueville sur le côté frustrée de ne pas avoir encore joui, et en manque de plaisir charnel. Les garçons pensent l’avoir rassasiée et s’apprête à lui proposer un nouveau gage, lorsqu’étonnés, ils l’observent se cambrer, écarter les cuisses, une main se baladant sur ses seins gonflés et l’autre glissant sur sa vulve ouverte de désir.

-Putain elle en reveut encore ! Enzo att le gros gode ventouse et le présente aux lèvres charnues de la gamine qui les referme en aspirant le gros gland dans sa bouche.

Le moment qu’ils ont nourri est enfin arrivé, Élodie est complètement esclave de ses sens et elle est prête à n’importe quoi pour assouvir sa jouissance. Au grand désarroi de la gamine, le portugais retire le gland de latex dans un *PLOP* grotesque. Il branle la vulve gonflée du creux de la main et récolte un max de mouille dont il tartine ensuite la base de la ventouse pour ancrer le gros sexe sur la vitre de la porte fenêtre au vue du chantier.

Il tire la gamine de sa torpeur et la plaque, mains en avant, en appui sur la vitre, la grosse bite oscillante au niveau du visage poupon. Il lui tire le visage vers l’arrière en l’attrapant violemment par les cheveux :

-T’es une sale chienne hein ?

À moitié lucide, perdue dans les effluves de sa jouissance à venir, la gamine gémit :

-Ouiiii .... humph .... humph .... humph .... je suis qu’une chienne!

-Alors suce bien salope !

Et il lui empale la bouche sur le gros gland à la vue du chantier qui s’anime à leurs pieds. Sans ménagement, il présente son gland trapu à l’orée de la chatte en feu de la gamine. Il s’y enfonce d’une traite, en extase de sentir les muqueuses gonflées et serrées autour de sa bite. Claquant violemment le cul tendu de la gamine il entreprend de lui besogner la chatte en l’insultant copieusement, chaque insulte accompagnée d’une énorme fessée.

-T’aime la bite hein salope ? *CLAC*

-Tu vas te faire baiser comme un sale trainée, c’est ça ? *CLAC*

Et il claque son bide musclé contre le cul trempé de la gamine à chaque nouveau coup de queue. Il la baise quelques minutes avant de céder la place à ses collègues et prenant bien soin de mener leur chienne juste aux bords de la jouissance, avant de passer le relais. La gamine est en feu, la cyprine dégouline entre ses cuisses, et éclabousse les hommes à chaque coup de queue. Les trois collègues alternent cinq, six fois, quand Mathieu fait preuve d’une nouvelle initiative. Le jeune rouquin rêve d’enculer la petite chienne depuis des mois, et l’opportunité est trop belle d’en profiter pour en bonus, humilier la gamine qui joue avec eux depuis trop longtemps.

Le rouquin détache une corde de coton attachant le voilage rose de la fenêtre et traine la petite sur le balconnet. Il lui attache les mains au pied de la barrière, dans la coin faisant face au chantier. À demi consciente, mais réagissant un poil trop tard, la petite brune se débat faiblement lorsqu’elle réalise qu’elle est de retour sur le petit promontoire. La gamine, les bras étendus devant elle, se trouve le cul tendu en arrière, tout juste caché du regard des ouvriers.

Mathieu jubile, debout derrière la gamine, il s’arcboute au-dessus de son cul est après avoir humidifier son doigt, il commence à lui doigter l’anus. La petite ressent de nouveau la chaleur gonfler dans son ventre, exposée, humiliée, incapable de se libérer de ses liens. Tout en lui doigtant le cul, Mathieu se plante une nouvelle fois dans la chatte brûlante de la gamine. Cette fois, la petite n’a plus de bâillon pour ses cris, elle gémit alors de plaisir, et crie lorsque la douleur des fessée sur ses fesses rougies de douleur, se mélange avec les décharges de plaisir qui se propage dans son corps devenu ultra-sensible.

La bite dure comme le bois, lubrifiée de mouille, il presse son gland rouge contre la pastille tendue. Il s’agrippe aux gros nichons et pousse lentement, écartant les muqueuses anales encore vierges. Lorsqu’il se retire, il chuchote à son oreille :

-T’aime ça hein salope ? Tu aimes te faire enculer comme une chienne ?

-Han .... han .... oui oui ....

-Répond salope ! *CLAC*

-Oui .... en ....

Et il s’enfonce en elle à nouveau lui arrachant un cri :

-ENCULE MOI PUTAIN!

Et le rouquin s’agite dans le cul serré, haletant il l’encule en profondeur jusqu’à la limite de l’explosion. Il se retire et sans même se cacher, il donne le relais à Quentin qui reprend la sodomie de la petite, suivi du brutal Enzo qui n’hésite pas à l’insulter et lui claquer le cul violemment. Les compères tourne l’un après l’autre, alternant entre baise vaginale et sodomie profonde, mais s’arrêtant toujours à la limite de la jouissance de la petite.

Les trois amis résistent de moins en moins et les rotations sont plus courtes. Enzo libère la gamine et la porte dans la chambre pour une dernière aventure, il s’allonge sur le lit de la gamine et guide la petite à empaler son cul sur sa bite.

-HAN ....

-Tu veux jouir hein ma salope ? Lui demande-t ’il en lui tordant violemment le téton.

-HAAAAAAAN .... Oui, pitié faites-moi jouir !

Quentin lui écarte les cuisses et se plante dans son vagin brûlant. Les deux amis baisent la petite brune en se lâchant. Mathieu enjambe le visage de la gamine et lui plante sa bite au fond de la gorge. Il lui baise la bouche, le souffle chaud de la gamine lui procurant un doux plaisir.

La gamine s’agite sur les bites à la recherche de sa propre jouissance, oui ça y est, elle vient, les bites qui vont et viennent en elle font monter son plaisir qui atteint enfin son apogée. Mathieu le sent sur sa bite, le souffle s’accélère, les lèvres convulsent autour de sa queue :

-Continuez les mecs, elle est à point !

Les copains accélèrent, le feu monte dans les profondeurs de sa vulve et il éclate en un feu d’artifice alors que les trois compères se vident simultanément dans leurs trous respectifs. Élodie inonde ses baiseur d’une explosion de cyprine et elle s’effondre d’épuisement sur son lit, dégoulinante de sperme par tous les trous.

Epuisée et noyée dans son extase, Élodie entend à peine les garçons autour d'elle, elle ne les calcule lorsqu'ils immortalisent leur exploit. Elle les entend à peine se marrer de l'infortune de la gamine esclave de ses sens. Enzo, fidèle à lui-même, externalise ses pensées sans aucun filtre :

-Bon ben v'là une bonne chose de faite ! Putain de chaudasse, elle nous a bien vidé les couilles c'te p'tite chienne !

-J'pensais pas qu'elle était chienne à ce point-là ! Elle encaisse bien la gamine ! Ajoute Quentin.

Enzo le check en mode Bro'

-Ouais bébé, on dirait qu'on a notre propre "Béa", hein p'tite chienne ?

*CLAC* Et il lui claque une dernière fois le cul après s’être rhabillé, arrachant un gémissement à la brunette.

Élodie est à nouveau parcourue par une décharge de plaisir sourd. Son corps, loin d’être anesthésié, réagit, ses seins pointent, une chaleur naît dans son ventre qui expulse encore du foutre gluant par son vagin. Elle se mord la lèvre, engouffrant son visage dans la couette puant le sexe, conséquence des ébats récents.

Honteuse d'être encore sous les effets de son excitation, elle ne veut pas que les garçons se rendent compte à quel point elle est devenue esclave des pulsions sexuelles de son corps.

Insensibles à l'état de la gamine, Quentin et Enzo se dirigent vers l'entrée de l'appartement, mais pas sans noter que Mathieu est resté dans la chambre. Le portugais, un tantinet curieux jette un dernier coup d'œil par la porte et interpelle son pote :

-Ben alors frère, tu viens ?

-Non partez devant, je vais quand même l'aider à ranger un peu !

-HA HA HA .... T'es con mec, t'inquiètes pas pour elle, faut bien qu'elle apprenne !

Et les deux amis finissent par décoller, abandonnant le gentil rouquin et leur nouveau vide couille.

Seuls dans la petite chambre aux forts relents de foutre et de sexe, Mathieu glisse doucement sa main sur l'épaule de la gamine. Elle frissonne sous le doux contact du jeune homme. Son corps est au aguets après les sévices subis depuis le début de l'après-midi. Il caresse les boucles douces et fines des anglaises de l'adolescence, puis caresse la joue rose, glisse sa main sous le menton humide, et râcle le sperme dégoulinant à la commissure des lèvres charnues.

Lentement, le jeune homme glisse son doigt couvert du sperme refroidi de Quentin et glisse son doigt entre les lèvre de la gamine. Il sourit, la petite ferme les yeux et commence à téter le doigt englué de foutre.

-Eh ben, Enzo s'est pas trompé sur ton compte, t'es bien une chienne !

Honteuse, Élodie détourne le regard, mais Mathieu bloque son visage poupon, et la force à croiser son regard. Il guide le visage de la gamine, qui tourne sur elle-même pour suivre le mouvement :

-Fait moi bander p'tite chienne, tu la veux encore ma bite, hein ?

-HUN .... La belle ferme les yeux et glisse une main sous son torse afin de se redresser et s'allonger sur la cuisse du jeune homme.

Les yeux pétillants, elle fait sortir la bite du short et commence à la caresser, gourmande, insatiable, puis elle gobe le gland mou entre ses lèvre, Mathieu est aux anges :

-Oui .... c'est ça p'tite chienne, suce moi bien!

Élodie ferme les yeux et se perd dans l'emprise de ses sens.

Mathieu glisse sa main sur le ventre luisant de la gamine, et écarte la cuisse droite d'Élodie pour exposer sa chatte dégoulinante. Il caresse la vulve engluée de foutre, et s'en sert de lubrifiant pour y enfourner directement trois doigts.

-HUN ....

Élodie gémit, la bouche pleine, la queue durcissant entre ses lèvres gourmandes. *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* Les bruits humides et gluants excitent le jeune homme qui ondule du bassin et commence à baiser en douceur la bouche de la petite brune.

Il se retourne, et tire Élodie vers l'arrière pour faire pendre la tête de la gamine dans le vide au bord du matelas. Il lui incline le visage vers l'arrière et l'att par les joues pour aligner sa bite avec sa gorge grande ouverte. S'accroupissant au-dessus du visage offert, il commence à ramoner en douceur et en profondeur la bouche de l'adolescente.

La douceur de la gorge serrée autour de son gland déclenche une nouvelle vague de désir dans les reins musclés de Mathieu qui se met à accélérer les mouvements de va et vient. Les bruits de gargouillis gluants se répandent dans la pièce alors que Mathieu lui baise la bouche en gorge profonde.

Il att à pleine main les gros nichons dressés devant lui et s'en sert de poignée pour baiser la bouche offerte avec fougue :

*GUAH* *GUAH* *GUAH* *GUAH* Les bruits excitent le jeune homme qui accélère encore pour le plus grand bonheur de la gamine abusée.

-Oh putain, espèce de chienne, qu'est-ce que t'es profonde !

*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC* Il gifle les mamelles de la gamine, lui pince les tétons, les tord en les tirants vers le haut, arrachant de longs cris étouffés à la gamine qui cambre les reins, le plaisir et la douleur se mélangeant délicieusement dans son ventre en fusion.

Mathieu aperçoit les godes encore étalés à côté de la jeune fille qui se tord de plaisir sous les assauts de la bite dans sa bouche. Il lui vient une nouvelle idée, attrapant le gode à manche de la main droite, il écarte les cuisses d'Élodie et lui claque la chatte encore gluante.

Élodie se cambre à nouveau sous les coups, aspirant goulument la bite, les spasmes de sa gorge sur le morceau de chair arrachant des râles de plaisir au jeune homme, qui enserre la base de sa bite pour se retenir de jouir. Sa bite se gorge de sang, les grosses veines gonflent, il se délecte.

Il reprend ses esprits et claque à nouveau la vulve qui éclabousse les cuisses cuivrées de la gamine d'un mélange de foutre froid et de mouille gluante. Enfin, il appuie le nœud du gode entre les lèvres qu'il écarte entre son index et son majeur.

-HUUUUUUN ....

La gamine gémit d'un nouveau râle étouffé alors que le jeune homme enfonce lentement la tige de latex au profond de la chatte béante. Il lui plante jusqu'à la garde et la fait tourner au fond de la vulve. Arrachant une nouvelle complainte à la jeune fille.

Il passe sa main gauche sous les reins cambrés de la gamine et commence à lui pistonner la chatte dans de grands mouvements longs et violents. Il plante le gode au fond de la chatte étroite et gonflée lorsqu'il se retire de la bouche haletante, et alterne enfonçant sa bite au fond de la gorge ouvert lorsqu'il retire le gode en latex presque entièrement, et répète les mouvement alternés avec de plus en plus d'amplitude et de force.

La gamine aspire la longue bite fine comme un aspirateur, déclenchant de nouvelles vagues de jouissance dans les reins de Mathieu. Il se régale, il peut disposer de la petite chienne juste pour lui et sa bite.

Après quelques instants de ce double ramonage buccal et vaginal, le jeune home se retire avant de se vider dans la gorge de la gamine. Déchainé, il extériorise toutes les années de retenue qui le bride. Il a toujours été le gentil Mathieu, celui qui prête son épaule aux copines, qui dépanne les potes, celui sur lequel on peut toujours compter. Aujourd'hui, il va prendre possession de cette petite salope, elle est à lui seul !

Son cerveau bouillonne, il veut humilier la gamine, l'offrir en spectacle, ses potes ont ouvert la voie, il n'a même plus à se demander jusqu'où il peut aller. La gamine a démontré le peu d'inhibitions qui la caractérise. Il retire sa bite de la bouche haletante et enfonce le gode dégoulinant de mouille entre les lèvres entrouvertes de la petite brune.

Il retire le gode et tire les cheveux de la gamine en arrière, elle ouvre la bouche en grand, et Mathieu en profite, il lui crache dans la bouche et y plante à nouveau le gode, le faisant aller et venir en gorge profonde.

-T'aimes ça, hein, salope ?

Il retire le gode pour lui permettre de répondre :

-Oui Mathieu, oui je suis une salope, je suis ta salope, de moi, humilie moi, fait moi jouir ....

Elle glisse sa main entre les cuisses du jeune homme, et fait glisser ses doigts fins le long du sexe tendu, couvert de sa propre bave.

-Bouge ton cul de salope, tu vas faire un petit spectacle à tes nouveaux admirateurs ! La défie-t ‘il en lançant un regard vicieux en direction du petit balcon de la jeune fille.

Élodie écarquille les yeux, et bien que son cerveau se refuse à exposer son cul une nouvelle fois aux prédateurs du chantier, son corps est d'un tout autre avis. L'idée de se dévoiler à nouveau aux gros vicelards en contrebas, déclenche de nouvelles vagues de chaleur irradiante dans le creux du ventre plat, secoué de mini convulsions de manque.

Élodie se débat pour la forme, elle le supplie timidement du regard:

-S'te plaît .... non .... pas encore!

-Ta gueule poufiasse, sort ton cul sur le balcon et commence à les aguicher ! Et à quatre pattes, les p'tites chiennes comme toi c'est le cul en l'air que ça chauffe les mâles.

La gamine se dandine, féline et expose son cul levé, cambré et largement ouvert sur les vagues de fraîcheur du léger vent qui caresse sa chatte et sa pastille sensibilisées par les derniers assauts. La brunette sent une nouvelle vague de désir naître au creux de sa chatte lorsque les sifflements montent du chantier.

Elle observe, gourmande, la vingtaine d'ouvrier en contrebas, les mains posées sur les joues de ses fesses pour les écarter au maximum, la peau tendue lui faisant presque mal. Elle claque elle-même ses fesses alternativement, le claquement rebondissant en écho contre le mur voisin.

-Vas-y salope !

-Montre nous ton cul sale chienne !

-Doigte toi bien ma belle !

Les mecs sont complètement hystériques, et le jeune homme va encore faire monter la chaleur, il tend le gros gode ventouse à Élodie qui l'att, résignée à succomber aux pulsions exhibitionnistes de son maître actuel. Les yeux de la gamine pétillent de désir et elle se tourne à nouveau vers son audience, se doigtant l'anus, et aspirant le gros gland entre ses lèvres en regardant les ouvriers par-dessus son épaule.

Les sifflements s'intensifient, un nouveau feu d'artifice explose dans le ventre tordu de l'adolescente. Après quelques pompages du gland, elle retourne la grosse bite et crache au centre de la ventouse, avant de la planter sur le sol dans un *PLOP* humide.

Elle plaque ses mains devant elle, et fait glisser son entrejambe le long de la grosse bite veineuse pour la lubrifier de sa mouille. Les ouvriers s'excitent comme des animaux en cage, la gamine succombe à ses pulsions et s'empale la chatte sur la grosse bite. Elle commence à "twerker", se baisant d'elle-même sur le gros sexe veineux.

Mathieu se régale du spectacle, il admire la petite salope, et n'y tenant plus, il la rejoint sur le balcon et att les cheveux noirs de la gamine pour les tirer en arrière. Le petite chienne ouvre la bouche et Mathieu y plante sa bite pour la baiser sans vergogne en gorge profonde.

Élodie continue à se baiser sur le gode ventouse en subissant les coup de reins puissante entre ses lèvres. Il ne faut pas longtemps au jeune homme pour sentir à nouveau la sève monter dans sa queue tendue. Il se retire et force la gamine debout en la tirant par les cheveux la privant de sa jouissance toute proche à s'empaler sur le gros sexe.

Il la retourne et la balance en avant. Élodie se retient de justesse, les mains appuyées sur la rambarde métallique, et les seins se balançant sous sa poitrine. Mathieu pose ses mains sur les reins cambrés et encule la gamine d'un grand coup puissant, lui arrachant un cri non étouffé.

Il lui calque le cul et tire à nouveau les cheveux en arrière, et lui chuchote à l’oreille :

-Supplie moi de t'enculer, sale chienne !

Et la gamine, sans plus aucune inhibition, s’écrie :

-Oui, vas-y putain, encule moi bien à fond !

Le jeune s’active alors entre les reins ouverts de la gamine. L’excitation de sodomiser la gamine devant les ouvriers grise le jeune homme qui éclate la pastille de l’adolescente.

Les seins d’Élodie sont secoués d’avant en arrière au-dessus du vide sous les coups de bite. Les ouvriers se régalent du spectacle offert.

Les insultes et les sifflements montent jusqu'au balcon, grisant les adolescents :

-HAN .... HAN .... HAN .... HAN .... Vas-y .... Oui encule-moi bien à fond putain, ouiiiii

*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC* Le bide humide de l'enculeur claque en rythme contre le cul tendu de la gamine.

-Fait moi jouir Mathieu, décharge ton foutre dans mon cul de chienne !

-Ouais, vas-y Mathieu ! Le charrient les espagnols en contrebas.

Mathieu se lâche au moment où le feu d'artifice qui explose dans la chatte et dans le cul martelé de la gamine qui gémit, les yeux dans le vague, aveuglée par la jouissance qui l'inonde.

La jeune fille se retourne instantanément et s'accroupit devant son enculeur. Elle aspire la tige odorante avec avidité et nettoie la bite couverte de ses glaires et de sperme frais. La foule en contrebas les applaudit avec une légère frénésie.

La jouissance d'Élodie retombe rapidement, les effets de la sérotonine et de l'adrénaline se dissipent et la jeune fille réalise où elle est, et ce qu'elle a fait. Honteuse, elle se précipite dans sa chambre les larmes chaudes s'écoulant à flot sur les joues rougies de honte.

-Bon allez, j'me barre ! Merci p'tite chienne ! Lâche le jeune homme en se rhabillant avant de prendre congé sans se retourner.

Élodie est choquée, la remarque de Mathieu lui claque au visage comme une vraie gifle. Fourbue, honteuse, mais rassasiée et légèrement fière d'avoir dépassé ses inhibitions, elle se cale dans le cocon de sa couette et s'endort presqu'instantanément, repue de sexe et de sperme.

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*PLIP* .... *PLIP*


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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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